RP : Une rencontre inattendue

Une rencontre inattendue

Joy Brownd & Zephyr O' Broin

Comme chaque soir avant de tomber dans le sommeil, je lis un livre avant de sombrer dans les bras de Morphée. Ce soir, j’étais passionné par la lecture des hauts de hurlevent d'Emily Brontë. J'ai le cafard ce soir, je veux dire, je ne me sens pas comme d'habitude. Quelque chose me manque. Je serai bien sorti pour m'amuser un peu mais...La directrice a encore une fois suspendue les soirée de feu de camps des fires. Alors que mes pensées m'emportaient loin et quittèrent peu a peu mon esprit, J'entend soudain un bruit sourd, puis un poids qui atterrit brutalement sur mes jambes paisiblement allonger dans mon petit lit.
Je me redresse en sursaut et fronce les sourcils en voyant qu'une personne. a. atterrie. dans. mon. LIT. je lui lance mon plus grand regard noir et guette d'un air des espéré sa réaction d'enfant perdu.
- Mais t'es qui toi ??
chuchotais-je pour ne pas réveiller les différentes chambres du dortoir des Fires.
cela semble le surprendre et il essaie un petit tour d'humour pour d’étendre l’atmosphère. Sans succès.
-Tu vas vite m'expliquer qui tu es et pourquoi tu viens me déranger sur MON lit a 00h45, dans MON dortoir !!
Cette fois-ci je hurle a plein poumon. Je hais que l'on me dérange et encore moins dans une situation aussi grotesque. Je suis en pyjama. J'ai envie de dormir et cette idiot vient m'interrompre et me déranger.
J'aime pas les Aires. C'est plus fort que moi...

Une rencontre inattendue


Avec Joy Brownd & Zephyr O'Broin

Alors que je viens à peine de réaliser que je me trouve dans une autre chambre que la mienne, j'entends quelqu'un me hurler dessus. Non mais, franchement, y a vraiment plus de respect dans ce monde ! Comme si c'était de ma faute si mes atterrissages n'étaient pas hyper contrôlés.. Je me tourne alors pour faire face à la personne me hurlant dessus. C'est alors que je me retrouve face à face avec une jeune fille dont le visage exprime clairement sa colère envers moi. Je réfléchis un instant, est-ce que je la connais ? Je ne crois pas. Jamais vu de ma vie.

- OH ! Tu veux bien la fermer cinq petites minutes ? C'est pas que ta voix me crispe les tympans mais y a un peu de ça hein. En plus tu vas rameter tout le dortoir en hurlant comme ça !

Je râle légèrement et me gratte le crane en t'observant.

- Ecoute, euh.. Jeune fille gueularde dont le nom m'est inconnu, quand j'éternue je me téléporte. En ce moment, j'ai une saleté de rhume alors forcement.. Non mais, il fait froid en ce moment, non ? Ma parole ! On m'avait dit qu'il ferait chaud ce mois-ci, tu parles ! Y a vraiment plus de saisons hein ? En parlant de saison, tu aimes bien Vivaldi ? Non parce que dans le dortoir des WATERS, j'en peux plus ! Il ne passe que de ça vers 22h. Je vais faire une overdose de classique..

Je m'arrête alors de parler voyant que la colère semble grimper en toi à chacun de mes mots. Je crois que ce qui me vexe le plus, c'est surtout de voir que depuis le début tu ne m'écoutes pas alors que j'essaye d'être AIMABLE et de te faire la conversation. Je décide alors avant que tu ne repiques une gueulante, de tenté le tout pour le tout. De lancer un sujet de conversation qui, pour moi, intéresse le MONDE ENTIER !

- Tu aimes les cerf-volants ?

Une rencontre inattendue

Je suis calme. Je suis calme. JE SUIS CALME. Mais quel... on ne me manque pas de respect, jamais et ce petit gamin ferai mieux de déguerpir au plus vite.
ma petite lampe de chevet se met a clignoter légèrement.J'essaie de me contrôler jusqu’à que le clignotement cesse.
Il éternue et disparaît..? Il se moque de moi en plus ? et en plus il ose et a le culot de me hurler dessus lui aussi ? mais c'est le monde a l'envers !!!
-JE NE SUIS PAS UNE GUEULARDE ET JE NE CRIS PAS.
Je ferme les yeux quelques instant pour me calmer encore une fois. quand je les ouvre a nouveau l’intrus est toujours la. sauf que maintenant, il sourit. Chose qui a le don de m’énerver d'avantage.
-Je peux savoir ce qui te fait sourire ? Parce que moi je préfère largement écouter du Vivaldi que de parler de cerf-volant. En quel section du est ? 1er ? parce qu’être aussi maladroit c'est un record je crois !
Je me lève et ouvre la fenêtre pour respirer un peu. Je me met a penser tout bas qu'il a raison, c'est vrai qu'il fait un peu froid...un léger vent agite les branches du grand parc. Mais dehors la nuit reste calme.
- Je suis l'une des responsables de ma section donc si tu ne veux pas d'ennuis ne te fait pas remarquer et ce problème sera réglé. Tu devrai rentrer au plus vite au dortoir.
Mon ton est cassant et désagréable, j'ai déjà du mal a supporter les Aires mais celui la...Je ne pourrait jamais l’apprécier je crois.
Pourtant je me sens un peu seule ce soir, peut-être que je pourrai lui parler encore 5 petites minutes avant d'aller dormir ? Mon visage s'adouci aussitôt et tout en gardant ma nonchalance, je scrute le visage de l’intrus. Il a l'air tellement ignorant avec son visage naïf et innocent qu'il me donnerai presque envie de vomir.
Finalement je choisi la seconde option.
-Allez éternue et disparaît.

Une rencontre inattendue Avec Joy Brownd

En entendant que tu es une des responsables, je me mets interieurement à prier pour ne pas retourner dans le bureau de Madame Maugrey. Ce n'est pas que je n'apprécie pas sa compagnie mais à chaque fois elle menace de me refiler tous les travaux insupportables ! La dernière fois, j'ai du astiquer, frotter et décrasser tout le dortoir des AIR. Plus jamais. PLUS JAMAIS ! J'observe alors la jeune fille que j'avais presque oublié en me focalisant sur mon traumatisme Maugreyien.. Elle m'invite à partir ? Roh. Pour une fois que je tombe sur quelqu'un qui ne s'enfuit pas de peur en me voyant apparaître comme ça.. Je ne compte pas partir tout de suite ! Un fin sourire se dessine sur mes lèvres alors que je l'observe. Elle se donne des airs froids mais je suis sûr et certain qu'il y a moyen de s'amuser avec elle.

- C'est dommage, mais je n'ai vraiment plus envie d'éternuer !

Je la regarde en penchant ma tête sur le côté, un immense sourire plaqué au visage comme pour la provoquer et faire exploser son self-control. Je me lève un instant et me dirige vers le rebord de la fenêtre afin d'être plus proche d'elle. Oui, j'aime vivre dangereusement. Au moment où je commence à parler, je suis secoué par un éternuement et me retrouve téléporté dans un placard à balais.

- Roh bordel, je le savais qu'il fallait éviter de s'approcher de cette foutue fenêtre. Je suis coincé jusqu'à 8h la dedans maintenant..

Une rencontre inattendue

Je crois bien que je vais faire un meurtre. Quand je le vois se lever et s'approcher de moi, ma colère se dédouble. Mais quel culot ! pour qui se prend t-il ?
Néanmoins je ne m'abaisse pas. Je me met face a lui et le défi du regard.
Soudain et contre toute attente, je vois son visage se déformer. En un quart de seconde, il éternua et disparu.
Je masqua mon visage de mes mains pour dissimuler un sourire.
Au moins il m'aura inconsciemment remonté le moral. Sans savoir dire pourquoi, je sors du dortoir, traverse la pièce commune et me rend dans le couloirs principal.
Ou a-t-il pu bien atterrir celui ci..Soudain, un bruit provenant de l'angle d'un mur caché sous un escalier.
Je m'y approche a pas de felin. Un placard, je tend mon oreille contre la porte de bois et entend siffloter un air de vivaldi. Un sourire de triomphe fend mes lèvres froide et je ne réussi pas a dissimuler mon air satisfait et moqueur.
Je chuchota simplement contre la porte :

-Fait de beaux rêves, c'est ta punition pour m'avoir dérangé.

Et je reparti dans mon lit toute heureuse a pas dansant.



                                                      

Une rencontre inattendue Avec Joy Brownd

Alors que j'avais décidé de siffloter un air de Vivaldi pour m'occuper.. Il faudra d'ailleurs que j'aille régler leur compte à ces abrutis de Waters. C'est pas que le classique c'est chiant mais c'est à peu près ça ! On devrait leur interdire d'écouter ça. Vraiment. Quand je pense que lorsque moi je met ma musique à 22h, je peux être certain de Madame Maugrey me tombe dessus et que les Waters elle les encourage à écouter ça parce ça, soit disant, developpe leur lyrisme.. J'ai envie de hurler à l'injustice. Non mais oh, tout ça parce qu'on est en AIR on peut pas écouter de musique. Les bonnes fètes sont chez les FIRES, les ambiance cool, chez les EARTHS… Et nous les air, on a quoi ?! OPTION COUTURE.

Alors que je râlais depuis quelques minutes dans mon esprit, j'entends la voix de Joy à travers la porte de mon placard-prison.

- Joy.. ? Attends, pars pas ! Non ! LIBERES MOI !

Rien. Aucune réponse. Elle m'avait lâchement abandonner à mon sort. Un grognement de frustration et un coup de poing dans le placard me soulagèrent un instant quand..

- PUIS-JE CONNAÎTRE L'IDENTITÉ DE LA PERSONNE QUI FAIT TANT DE BRUIT ?

Cette voix était accompagné d'un petit son de trousseau de clés. Je reconnaîtrais ces sons entre milles. C'était bel et bien la voix de la créature la plus effrayante de toute cette école.. Le vautour géant à la voix grave, j'ai nommé : Madame Maugrey.

Les ennuies commencent..

Je fais bonne figure en arrivant dans le couloir et fait mon plus beau regard incompréhension.

-Que faite vous la madame ? demandais-je d'un air faussement choqué. Si elle le trouve et qu'il avoue que je l'ai laissé moisir la, je suis morte.

-DU BRUIT. J'AI ENTENDU DU BRUIT!hurle t-elle dans une grimace hideuse.
-Oh, veuillez m'en excuser.. Un première année passe une nuit difficile et cauchemardesque. Il est réveillé maintenant,ça devrait aller. En tant que responsable de ma section, je gère la situation.

Heureusement que je suis responsable du groupe, c'est mon excuse pour tout. Mon plus beau sourire et mon regard angélique ne parvient même pas a la convaincre.

-Je vous surveille de près mademoiselle Brownd, de très très près.

Sur ce, elle fit demi tour dans ses appartements.

Une rencontre inattendue

Avec Joy & Zephyr

Vu l'heure, j'arrivais dans le dortoir pour enfin m'allonger. J'étais juste derrière notre chère et aimée directrice. En passant devant, je lui dis: 

-Bonsoir Madame Maugrey, que vous êtes jolie, que vous semblez belle..
-Alec cesse enfin ces plaisanteries, dit-elle d'une voix rocailleuse.

Je regardais Joy et lui souris.

-Je les vois les petits regards, là! continua-t-elle en se pointant devant la porte. Je suis de retour, tout cela me semblait louche.Que se passe-t-il? Je veux une réponse! 
-Le roi il dit nous voulons, Madame, lui dis-je.

Une voix se fit entendre du placard. Un grattement fit écho contre la porte. Madame Maugrey s'avança et ouvrit l'armoire.

-Que fais-tu là dedans, sale petit garnement! 
-Je... Je faisais...
-De la couture, répondis-je, c'est vrai que les cols étaient à refaire. Merci cousin, tu peux t'en aller maintenant.
-Il peut rester, ce n'est pas gênant,répondit Joy.

Je souris en comprenant le jeu de ma bien aimée, bien que je sois le seul à l'aimer vu qu'elle jouait les indifférente mais cela devait être une technique pour me faire comprendre que je lui plaisais.

-Vous pouvez y aller Madame, nous ne voudrions pas vous faire perdre votre temps plus longtemps, continua-t-elle avec un sourire forcé.

Comme d'habitude, Alec arrive. Et comme d'habitude Alec joue les sauveurs.
Et comme d'habitude, ALEC M’ÉNERVE. oui d'accord, il est mignon. Bon ok carrément mignon mais il trouve toujours le moyen de fouiner dans mes affaires personnelles. Je lui lance un regard agacé.

-Pourquoi faut-il toujours que tu traînes dans mes pattes ? dis-je au beau jeune homme d'un ton sec sans même prendre la peine de le regarder.

Avant qu'il est eu le temps de répondre, j’enchaînais d'un ton hystérique:

-Et depuis quand cet imbécile est ton cousin ??? Pourquoi tu ne la pas laisser dans le placard !? De toute manière tu as toujours besoin de jouer les gros dur et de voler au secours des plus faible. Tu m'ennuies.

Je soupire et me laisse aller contre le mur de pierre du grand couloir principal.

-Maintenant je veux vous entendre dire TOUS LES DEUX que vous aller me laisser tranquille et me laisser DORMIR. Parce-que à cause de vous je vais être d'une humeur exécrable jusqu’à la fin de la semaine.

Je me sentis soudainement épuisée de ces deux andouilles et retournais dans le dortoir, je me laissais glisser dans mon lit douillé et confortable.

Une rencontre inattendue. Avec Joy Brownd & Alec Ó Súilleabháin

Alors que Alec arrive et semble regarder Joy avec intensité, je décide de sortir du placard et de tenté de récuperer le peu de dignité qu'il me reste. Je passe une main dans mes cheveux et regarde mon cousin qui.. Dévorait littéralement la jeune fille. Oui, mon cousin est une sorte de cannibale du regard. Et quand il est énervé, je vous assure que ça fait très peur..

- Ahem.. Bon et bien.. Moi je vais repartir dans mon dortoir hein ! Il faut absolument que je soigne ce rhume.. C'est devenu trop difficile à gérer.. Mon dieu.


Je me frotte le nez avec la main, tape virilement l'épaule de mon cousin et décide de me diriger vers le dortoir des Aires.. Quand soudain..

- ATCHOUM ! Non je rigole. Haha. Petite blagounette de ma part..

J'observe mon cousin qui me regarde d'un air à mi-chemin entre le desespoir et la honte profonde.. Ça va ! On a pas tous fait l'école de la blague hein.. Moi ils m'ont recallé direct et franchement, JE NE REGRETTE PAS ! Non mais.. C'est bon quoi. C'est pas parce que je suis pas drôle que je dois passer pour un idiot..

- Allez, salut !

Je me retire alors, décidant qu'il était l'heure pour moi d'aller me reposer et soigner ce rhume atroce..

Une rencontre inattendue

Avec Joy & Zephyr

Je fis un signe de tête à mon cousin, pour le remercier de nous laisser seuls, mais il reviendrait sûrement pendant la nuit à cause de ses éternuements. Je me déshabillais pour enfiler un pyjama, c'est à dire un simple jogging, et je sentais un regard se poser sur moi. Je souris. 

-Je te plais à ce point pour que tu me dévores des yeux? 

Elle ne répondit pas et se tourna dans son lit, dos à moi. Je m'approchais et m'assis à ses côtés, un bras par dessus son corps et je lui murmurais d'une voix douce et bienveillante:
 
-Si tu penses que jouer les femmes fortes et insensibles me dégoûteras de toi, tu te trompes. Si tu penses que me crier dessus en me disant des choses pour me blesser, sache qu'il te faudra bien plus pour me froisser. Et si seulement tu cessais d'être égoïste et omnibulée de ta personne, tu apprendrais à connaître les autres, tu aurais déjà su pour ma part que oui, cet abruti n'est rien d'autre que mon cousin, Zephyr. Sur ce, je te laisse te reposer.

Je lui donnais un baiser sur la joue et lui caressais les cheveux avant de retourner dans mon pieux.

Je regarde Zephyr partir tristement.. Pitié ne me laisse pas seule avec.. LUI !! Comme si rien de n’était et sans aucune gène Alec se change devant moi. Tout est normal, mais je ne peux m’empêcher de détourner le regard. Il est comme même extrêmement bien fou...

-Je te plais à ce point pour que tu me dévores des yeux?

Je fronce les sourcils et me tourne dos a lui. Prise sur le fait et vexer, je me remet a lui parler d'un ton cassant

-Je ne te regardais pas. Jetais en train de penser. Tu n'est pas le centre du monde Alec.

Je me rend petit a petit compte que mon excuse est juste bidon et peu crédible... Je ne supporte pas l'idée qu'il me surprenne dans mes pensées, et pire encore, qu'il les comprennent. Il s'approche de moi. "Oh non" Mon cœur se serre et je sens le rouge me monter au joue. Je sens son bras sur moi et son corps s'appuyer sur moi :

-Si tu penses que jouer les femmes fortes et insensibles me dégoûteras de toi, tu te trompes. Si tu penses que me crier dessus en me disant des choses pour me blesser, sache qu'il te faudra bien plus pour me froisser. Et si seulement tu cessais d'être égoïste et omnibulée de ta personne, tu apprendrais à connaître les autres, tu aurais déjà su pour ma part que oui, cet abruti n'est rien d'autre que mon cousin, Zephyr. Sur ce, je te laisse te reposer.

Ses paroles raisonnent dans ma tête. Il m'embrase le front et joue avec mes cheveux puis, il disparaît a nouveau. Seule dans le noir et dans le silence, je me surprend a sourire, puis a m'endormir.

Une rencontre inattendue

Avec Joy Brownd

Les bras derrière la tête, je regardais le noir plafond. Je n'étais pas le centre du monde m'avait-elle dit? Je l'avais connu plus cinglante. Je respirais et expirais assez fort en pensant à elle. J'étais en train de la rendre amoureuse, ou du moins intéressée. Dire que je ne jouais qu'avec elle et ses misérables sentiments. C'est triste tout de même. Mais elle ne le découvrirait pas de si tôt. Peut-être que pour jouer ce jeu si facilement, j'avais des sentiments moi aussi, mais cela m'étonnerait vu que je ne tombe que pour des personnes intéressantes, ce qui n'est jamais arriver pour l'instant, et par son caractère je pouvais en déduire qu'elle était comme les autres. Pourquoi suis-je aussi critique avec elle alors que je ne la connaissais pas tant que ça? Les premières impressions sont souvent justes, mais étaient-elles pour elle? Des questions aussi bidons me prenaient la tête, je fronçais les sourcils et dos à elle je m'endormis.