Réfectoire.

Je me laisse emporter vers l'extérieur. C'est vrai qu'après faire les imbéciles, on a vite chaud. On rigole pour rien, ce n'est pas comme si on était pompette. Ce n'est va avec deux et un verres de Guinness qu'on finit ivre. On est juste joyeux, on est juste bien. Je souris.

-Saint Patrick doit se retourner dans sa tombe actuellement.

Après de longues heures à rester dehors, mon ventre gargouille. J'entends soudainement le clocher indiquer neuf heures. Cela explique tout, pensais-je. Je me lève et sors quelques pièces de ma bourses pour payer des deux commandes. Il faut que je ralentisse dans mes dépenses. J'ai de l'argent renouvelé tous les premiers du mois, mais ce n'est pas une raison. Ma bouche se tord sous la gêne.

Je me retourne vers Zelda, et la relève de q chaise à l'aide de ma main. Je ne la lui lâche pas et en profite pour passer mon bras autour de son con, pour que sa tête finisse au creux de mon épaule. Nous marchons ainsi jusqu'au refectoire. Il n'est pas rare de voir des élèves déjeuner à ces heures du matin. On récupère notre repas et s'assoit à une table en tête à tête. Je mange tranquillement, tout en la regardant. C'est le matin, je suis légèrement fatigué, et je n'ai pas grand chose à raconter. Mais ce silence entre nous n'est pas pesant.

Après avoir dévorer les aliments de mon plateau, avec une serviette je m'essuye la bouche. Et me chauffe la voix en toussant légèrement.

-Qu'avons nous au programme, ma chère? lui demandais-je avec une voix grave et endormie.

Il passe son bras autour de mon cou. Je love ma tête au creux du sien. Je me laisse guider par lui: je ne sais pas où il m'emmène, mais en entendant son ventre gargouiller, ça ne peut être qu'au réfectoire.

Et j'avais raison. Arrivés là-bas, nous prenons notre repas, et nous nous installons près des fenêtres, face à face. Nous ne parlons pas en mangeant, mais ce n'est pas gênant. Le silence est parfois plus éloquent que les mots. Je croque dans ma pomme, et regarde dehors. J'arrive pas à y croire. Non seulement j'ai dansé des heures avec Alec, mais en plus, nous avons parlé des heures dehors, en nous en rendant compte que lorsque le soleil commençait à se lever. C'est la deuxième fois que je regarde le soleil se lever avec quelqu'un. Partager ce moment avec quelqu'un a quelque chose de magique. Surtout quand on s'entend super bien avec la personne avec qui on le partage. Je souris, euphorique, et croque dans ma pomme. Je me tourne vers Alec, qui s'essuie la bouche avec sa serviette, et tousse légèrement.

-Qu'avons nous au programme, ma chère?me demande-t-il d'une voix grave, endormie et super sexy.

C'est vrai ça, qu'allons-nous faire? Je n'ai pas envie d'aller en cours, pas après une nuit comme celle-là. Mais surtout parce que je suis bien avec Alec. C'est rare que je me sois sentie aussi vivante. Je le regarde: il a les cheveux dans tous les sens, et comme moi, semble un peu crasseux de cette nuit. Je lève un sourcil: il n'y a qu'un endroit où nous pourrions et passer la journée, et se "laver". Je lui souris, malicieusement.

-Je sais pas pour toi, mais moi je ne me sens pas d'aller en cours. J'ai même l'impression que la fête n'est pas finie!

Je lui fais un sourire en coin, pose mes coudes sur la table, et ma tête dessus.

-Une petit virée à la plage vous plairez-t-elle, mon cher?

Suite après la plage.

Avec Zelda

On arrive au réfectoire juste à temps. Ni vu ni connu, on se faufile dans la queue en restant à notre place. Décidément, on avait passé une sacrée journée. La fatigue me monte, mes paupières ne tiennent plus et se referment petit à petit. Ce n'est pas le moment. J'ai toute la nuit pour dormir. Enfin passé la file, je montre avec un coup de tête, une table à Zelda. Nous allons encore manger en tête à tête, comme de bons vieux amis. On s'assoit et mange en silence. Des regards et sourires s'échangent.

-J'espère que cette agréable journée t'a plu. J'ai tenu ma promesse, lui dis-je en brisant le silence.

Je lui souris, continuant à manger, savourant mon repas. Lorsqu'on a fini, on sort et je me dirige vers la cour extérieur pour fumer une autre cigarette. Zelda me suit, je lui en offre une autre et lui allume.

-Tu devrais te sentir honorer. Il n'y a qu'aux jolies filles qu'on allume leur cigarette. Sinon, elles se débrouillent pour elles-mêmes.

Je lui souris et allume ma cigarette clouée au bec. Je recrache la fumée et regarde les étoiles. Cela me fait penser à Zephyr. Je devrais retourner le voir. Il doit probablement s'ennuyer et déprimer tout seul dans sa piaule. Ma clope s'éteint. Je l'écrase au sol à l'aide de mon pied. Je m'approche de Zelda, la tiens par les épaules et lui embrasse la joue.

-Je vais aller me coucher. La fatigue me guette et va bientôt me gagner. On se revoit bientôt. Bonne nuit, Zelda, lui dis-je de ma voix grave, un sourire aux lèvres.

Je commence à marcher vers le lycée et transplane. Je devais voir Zephyr. Je dois le voir. J'ai la clef, ce ne sera pas un problème. J'atteris directement dans sa chambre.

Suite après la plage, dernier RP.

Je choisis les macaronis à la tomate. Rien de mieux pour se remplir l'estomac.
Alec m'indique une table, où nous nous asseyons, face à face. J'ai tellement faim que j'engloutit mon repas sans dire un mot.

-J'espère que cette agréable journée t'a plu. J'ai tenu ma promesse, me dit Alec en brisant le silence.

Je lève un sourcil, tout en souriant.

-Et il faut croire que quand tu en fait, tu ne les tient pas à moitié, j'ajoute avec un regard malicieux tout en enfournant une fourchette de pâtes dans ma bouche.

Il me sourit, et nous finissons notre repas. Je le suis jusqu'à dehors, où il me propose une clope, que je prend avec plaisir. Il me tend sa main, dans laquelle jaillit une petite flamme.

-Tu devrais te sentir honorer. Il n'y a qu'aux jolies filles qu'on allume leur cigarette. Sinon, elles se débrouillent pour elles-mêmes.

Je lui fais un sourire en coin, mais ne dit rien. Il n'y a que lui pour me dire ça. Il aime user de ses charmes, même si ça ne marche pas vraiment sur moi. Je lève les yeux et souris à cette pensée.
Nous fumons sans rien dire, en regardant les étoiles. Mes pensées s'évadent soudain vers Zephyr. Perché dans son arbre, il doit sûrement les admirer, lui aussi. J'écrase ma cigarette contre le muret, et lance le mégot au loin. Alec écrase le sien.
Puis il s'approche de moi, et me prend par les épaules pour que je lui fasse face. Il dépose un baiser léger sur ma joue.

-Je vais aller me coucher. La fatigue me guette et va bientôt me gagner. On se revoit bientôt. Bonne nuit, Zelda.

Il me donne un sourire, que je lui rend. Je n'ajoute rien, le silence parlant pour moi, et le laisse partir. Je le vois disparaître quelque pas plus loin: il a tout simplement transplané pour s'éviter du chemin en trop. Pratique, comme pouvoir. Je me retourner, et passe mes bras derrière mon dos en regardant les étoiles. Sa voix grave et sexy raisonne encore dans mes oreilles.
Je baille soudainement à m'en décrocher la mâchoire. Ok, j'ai compris: pour moi, c'est direction ma chambre sans tarder.

Par une simple mâtiné

Je me relève de ma chaise. Je passe une main sur la nuque tout en grimaçant. Dormir de la sorte n'est vraiment pas une bonne idée. Je m'étire et m'en vais vers la salle de bain, histoire de mettre un peu de déodorant et de l'eau de Cologne. J'aspire un grand coup et relâche tout la fatigue en expirant. Je fais quelques petit passements de jambes pour me motiver. Je ferme toutes les fenêtres et sors de ma chambre en fermant à clef derrière moi.

J'arrive enfin au réfectoire. Il semble ne pas y avoir énormément de gens contrairement à d'habitude. Sur un plateau, j'y dépose un bol de café noir avec du sucre et un croissant puis je m'en vais vers une table, la plus éloignée de préférence. Ça fait si longtemps que je n'ai pas mangé en tête à tête avec la solitude. Il n'y a rien de mieux pour recharger les batteries. Je trempe mon croissant dans mon café et le croque à pleine dent. Je regarde cet horizon rempli de tables et de chaises. Mon regard est juste ailleurs, regarde sans voir et pensif. Mais une forme devant moi se crée. Une silhouette. Quelqu'un qui vient déranger le cours de ma pensée. Encore et toujours. Je redresse la tête, pliant un de mes yeux sous la confusion et l'observe. L'homme n'attend pas une seconde et s'assoit à ma table. Je le regarde faire tout en silence. Je retiens certains soupirs qui tentent de s'échapper.

Par une simple mâtiné

Je m'en vais à la rencontre d'Alec. Et ben, la beauté c'est vraiment de famille! Mais Zephyr c'est le plus beau HSJEOCADO. Je vois à sa tête que ça ne lui fait pas plaisir de me voir. Bonne déduction, mon cher Watson. Shhhh. Pourquoi n'est-il pas content, j'suis quand même champion du monde de t-shirt mouillé, il devrait se sentir honoré ! Je m'assois à sa table en posant mon plateau. AUTANT SE FAIRE DÉTESTER À FOND. Je le regarde. Il le regarde. On se regarde. Bref. Nous nous regardons. J'essaie d'entamer la conversation parce que apparemment c'est pas lui qui va commencer hein! Ils sont si différents les cousins oh my gad. Zephyr est si léger et perché contrairement à Alec qui à l'air si terre à terre. Ça m'épate.

-Euh.. Boujou, cha va' ti? lui dis-je avec un grand sourire.

Oh putain. POURQUOI IL SORT CE CON DE NORMAND?? Je suis là, normal, j'essaie de paraître calme et sérieux ET NON. Ce con de normand me tuera MOI et là ça sera triste, et toutes mes relations relationnelles ! Je relève les yeux vers Alec qui ne semble pas dérangé par mon patois. Ou alors je pense qu'il s'en fout. Tu penses bien petit, je suis fier de toi. La ferme le mafieux. Le mafieux? Oui tu avais un accent italien de Naples en disant ta phrase. L'amour t'a monté à la tête. C'est bon t'es plus en compagnie de Zephyr tu vois le mal partout. NON MAIS OH! Non c'est juste que la Sicile me manque. VOILÀ. Bon je dois retenter avec Alec...

-Alors comme ça tu es le cousin de Zephyr? Je me présente, j'm'appelle Martin Pêcheur. Je suis en 5e année de la section Water. Tu entendras très prochainement parler de moi.

Je m'étonne à lui faire un clin d'œil et un sourire coquin. NON MAIS NON. Bon continue, improvise. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.  PUTAIN POURQUOI J'AI DE LA CHIMIE DANS LA TÊTE. Alors déjà c'est de la physique. Et c'est dit par Antoine Lavoisier. C'est qui lui putain? Il a énoncé la première version de la loi de conservation de la matière, démis la théorie phlogistique, baptisé l'oxygène et participé à la réforme de la nomenclature chimique. OK c'est chiant. BEN TU M'DEMANDES JE TE RÉPONDS!

-Zephyr est vraiment un ange, tu sais. Je... WoW. Je voulais juste te rencontrer histoire d'avoir des contacts avec ma belle famille.

Par une simple mâtiné

A l'entente de cette dernière phrase je recrache tout mon café en l'éclaboussant. Je m'essuie la bouche et le regarde d'un air qui semble dire "tu te moques de moi". Je le détaille et finis mon tour en levant un sourcil.

-Tá brón orm... Hum. Ta belle famille tu disais? Qu'est ce que tu racontes? Depuis quand vous êtes ensemble?

Je le toise. Il vient me déranger pour me parler de ça? Est-ce que ce monde est sérieux? Je reprends mon café et le vide à moitié. Je dois aller fumer mais je ne vais pas le laisser là tout seul, alors qu'il me parle. C'est irrespectueux. Je patiente alors, et si je ressens le moindre désir toxique, je m'en irai.

-Je sais comment il est après. C'est mon cousin, comme tu l'as si bien dit. Tu le rends heureux au moins? Depuis combien de temps ça dure? Quelles sont tes intentions ?

Ma voix semble sévère mais c'est tout contre mob gré. Il va peut-être se sentir agressé par mes questions mais j'ai besoin de savoir. Je ne veux pas qu'il se fasse avoir une deuxième fois. Je ne pense pas que ce Martin lui fera du mal. Il n'a pas l'air très futé mais on dit souvent des moins intelligents qu'ils sont -pour certains- les plus dangereux mais ça n'arrivera pas. Tout dépendra de ses réponses.

Par une simple mâtiné.

Je ne m'attendais pas à recevoir du café dessus. J'essaie de m'en débarrasser et de le sécher SAUF QUE ÇA NE SÈCHE PAS PUTAIN. FOUTU POUVOIR! MAINTENANT MA MARINIÈRE EST FOUTUE. BRAVO ALEC. TU PEUX ÊTRE FIER DE TOI PUTAIN. Elle est tachée et c'était pour plaire à Zephyr! J'essaie de sourire pour montrer que ce n'est rien et écoute ses questions. Le gars il s'est prit pour un flic ou comment ça se passe? Eh! Le gars c'est un populaire il choisit ses relations c'est normal! Mais il s'intéresse à Zephyr et moi, il s'en fout de ma gueule!

-Euh... On n'est pas encore ensemble et on s'est rencontrés hier soir... MAIS IL NE FAUT QUE 6 SECONDES POUR SAVOIR CE QU'ON VEUT VRAIMENT CALME TOI!

Alec a l'air de me regarder avec insistance comme s'il se disait que ce n'est pas sérieux. Je arrête là pour l'instant... PUIS POURQUOI J'AI CRIÉ PUTAIN. ET J'AI CRIÉ-É, CRIÉ-É ALINE POUR QU'ELLE REVIENNE ET J'AI PLEURÉ-É, PLEURÉ-É ALINE, OH J'AVAIS TROP DE PEINE. Oh putain chanson de merde le retour... Ça suffit! Mais voilà qu'il me pose d'autres questions. Je reste perplexe.

-Euh eh ben je n'ai pas d'intention particulière?!?! Je... L'apprécie juste.. ? Enfin j'aimerais plus et ça peut se faire mais...

Je me coupe. Martin tu parles trop oh lala. Qu'est ce que je peux lui dire de plus? J'ai l'impression d'être FICHÉ à chaque mot. Pire qu'un américain qui recherche des terroristes putain.

-Puis pour être heureux je ne sais pas, faudra lui demander mon poulet.

Je m'attends à recevoir un coup de babouche là à cause de ce surnom. Oh putain pourquoi je ne prix pas contrôler mes mots jdleksldod #%&&&&&#.

Je récapitule. Ils viennent de se connaître et il m'appelle déjà sa belle famille. Je ne veux même pas savoir comment ils se sont rencontrés. S'ils sont ensembles ou si c'est en cours, tant mieux, ça m'est égal, du moment qu'il aide Zephyr à remonter la pente qu'il est déjà en train de remonter. Ce garçon a l'air fort sympathique, peut-être un peu sûr de lui pour venir me parler ainsi, aussi librement ou tout simplement sociable. Si c'est le cas, j'aurais voulu qu'il soit sociable, mais ailleurs et à un autre moment. Je l'écoute et hoche la tête à chaque réponse. Mon poulet dit-il? Bon, je ne dirais rien à ce sujet. La seule chose que je veux c'est qu'on me laisse bouffer tranquille.

-Ok tuigim. Bon, ce n'est pas tout mais je dois y aller.

Je finis mon bol de café et mon croissant. Je commence à me lever et à prendre le plateau en main pour le poser et sortir fumer. Je me retourne vers lui,  lui pose un regard rassurant et fais un petit sourire.

-Si ça devait se faire, prends soin de lui surtout. Il est fragile comme garçon bien qu'il commence à s'endurcir. Occupe toi de lui comme il se doit et surtout... Que du bonheur à vous deux. Bonne journée, lui dis-je d'une voix douce.

Je pars finalement rendre mon plateau et me dirige vers la sortie. Je le regarde encore une fois et fais un hochement de tête pour lui faire comprendre sue je compte sur lui pour le rendre heureux, pour le rendre bien. Je sors mon paquet de mon jeans pour attraper une cigarette.

OH MY GAD MAIS VOUS AVEZ VU ÇA ? ALEC OU THE GARS DE L'ECOLE M'A SOURIS. ET CE REGARD IKKXLOGTBDLAZ. Il me souhaite du bonheur avec Zephyr. Oh oui je l'aime. Zephyr aussi mon bébé ! Je n'ai même pas le temps de lui dire merci qu'il est déjà parti. Finalement pour une première rencontre je m'attendais à pire! Il n'est pas agressif ni quoi comme j'ai l'habitude de l'entendre. Tu ne lui as rien fait encore c'est normal. C'est un gars respectueux des autres qui n'aime pas qu'on le fasse chier. PARFAIT ALORS. Il m'adore c'est bon je le sais. Si tu continues à le faire chier quand il mange il ne va pas t'adorer longtemps... Roh ça va. Ce n'est qu'une fois. Gâche pas tout avec ta mauvaise fois. RABAT JOIE. Tout ça parce que TU n'as pas PARLÉ au PoPuLaIrE de l'école et que MOI SI! Pfffff rageux va. Jaloux! J'nage dans mon jaccuzi toi t'es dans la jalousie. C'est pas moi qui va être jaloux d'un kikoo de merde. PUTAIN POURQUOI TU ME RABAISSES TOUJOURS? Tu cherches le bâton pour te faire battre c'est pas ma faute.

BON. Je reste là seul à ma solitude de solitaire. Apparemment aussi AIMÉ que le ver! Je commence à manger parce que c'est bien beau de parler, de parler mais faut manger aussi. C'est la nature de l'homme de manger, boire, dormir, avoir du sexe... PUTAIN J'SUIS EN MANQUE. ZEPHYR MON BÉBÉ OÙ ES TU? Tu me manques. Allez, princesse à l'eau de rose ça va me SAOULER ça ! Déjà que tu n'as rien pour toi, t'es même pas viril petite merde, si EN PLUS! Je dis bien EN PLUS, TON MANGEUR DE CHIEN DE MES DEUX TE RENDS FRAGILE... Mais fais toi couper ta bite et fais l'avion en te la mettant dans le UC! La ferme esclave, je ne t'ai point autorisé à parler donc ziiiiip là. ET EN PLUS AVEC TANT DE VULGARITÉ ! Je n'aime pas les gens vulgaires, t'as compris bouffon? C'est l'hôpital qui se fout de la charité oh nom di diou. PUIS! Je ne veux ozs remettre ça sur le tapis mais j'ai tout pour moi. COMPRIS? La beauté, l'intelligence, le romantisme, une grande perche me servant de sexe... Alors petit sache que DE UN t'es moche. DE DEUX s'il te manque bien un truc c'est l'intelligence. DE TROIS c'est même plus du romantisme à ton niveau tellement tu fais piété. ET DE QUATRE faut le voir à la loupe ton zizi. Non mais t'es fermé comme gars putain. T'es trop pas diplomate en vrai. Tu ne feras jamais de politique toi à dire les choses comme ça aux gens. TU ME SAOULES. Je finis de manger et me barre où mes pieds me guideront.